Marie-Odile NOVELLI
Engageons nous pour la planète, pour les solidarités, pour un nouvel humanisme au 21ème siècle
ENQUETE DECHETS : QUEL SCENARIO POUR DEMAIN ?
Participez à l’enquête publique de la Métro. Prenez aussi connaissance de notre travail citoyen Plan D²R² [10 propositions citoyennes pour que le Déchet de Demain Redevienne une Ressource]
Plan D2R2 de ZERO WASTE GRENOBLE :
http://zerowastegrenoble.wixsite.com/accueil/d2r2
Enquête publique de la Métro :
ENQUETE DECHETS : QUEL SCENARIO POUR DEMAIN ?
Mon avis :
Le scenario le plus ambitieux, mis en place serieusement est le plus cohérent et, le plus efficace à terme : comme le démontrent les retours d’expérience, plus on tri, mieux on trie.
De plus, il est plus raisonnable d’anticiper les évolutions plutôt que de les subir et cela coûte moins cher (certaines réglementations nous incombent dès 2025 comme la collecte separée des bio-dechets). Les investissements peuvent se faire progressivement : ex l’apport volontaire des papiers cartons dans des containers à fibreux deposés à coté des containers à verre réduit le ramasage "en porte à porte". La redevance incitative qui incite à reduire les déchets est cohérente et necessaire à cette evolution globale . Elle peut être testée avant application : il y a au moins 4 manières : des sacs prépayés ( système assez simple- la pesee du bac, le volume du bac, let le bac à la levée.
Nous devons commencer à considérer les déchets comme une ressource potentielle, qui non seulement limite les pollutions et la prédation des ressources (des metaux, terres ...rares etc) mais qui est aussi source de valeur économique et sociale : un bon compost de qualité bio est vendable, le développement des ressourceries permet à beaucoup de personnes d’accéder à ds biens et crée de l’emploi,donc plus de justice, et plus de lien social...
L’enjeu est alors de raisonner en cout global, en calculant réellement les couts et gains ou avantages globaux. Trop souvent nos decisions en terme de politiques publiques sont mauvaises parce qu’elles sont le fruit d’approches saucissonnées, segmentées par typologie d’cteurs ou de financeurs et ne représentent pas la realité. Cela empèche d’évoluer.
Raisonner en couts et gains gloabux est indispenssable. Il faudrait donc s’assurer le suivi d’experts (Universités, citoyens...) independants et dotés d’un vrai pouvoir d’évaluation.
PARTICIPER :
MO Novelli.
