Que se passerait- il en Rhône Alpes, région la plus nucléarisée, si l’on appliquait les périmètres se securité- pourtant notoirement insuffisants- de Tchernobyl et Fukushima ?

Et bien nous ne serions plus très nombreux à pouvoir vivre en Rhône Alpes. Surtout si l’on tenait compte des taux de radioactivité durables autour de la centrale de Tchernobyl, (et non pas des prévisions).

S’agissant du nucléaire, les autorités publiques établissent des zones d’exclusion et de protections notoirement insuffisantes.
Les PPI (plans d’interventions, en rouge) prévus pour Tchernobyl et Fukuschima sont ridiculement petits par rapport aux zones d’exclusions établies.
Qui elles mêmes obéissent à des prévisions sont largement inférieures aux taux de pollutions réelles !
Les cartes d’évolution actuelle (carte3 notamment) de la pollution au Japon après Fukushima sont intéressantes à cet égard.

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